Nous avons interviewé Aline Andres, Product Owner de Documedis Vac, et avons voulu savoir quelle était sa mission et comment les documentations numériques sur la vaccination allaient être développées à l'avenir.
Quelle est ta fonction chez HCI Solutions?
Depuis juin 2021, je suis Product owner dans le département Product Management et je poursuis mes études d’informatique médicale à temps partiel à la Haute école de Berne. En tant que Product owner, je suis responsable de Documedis Vac et de Documedis Covid, qui sont les parties de notre logiciel de cybersanté développées en lien avec la pandémie de Corona. Dans ma fonction, je prends en compte les exigences, par exemple de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) ou de nos clients, et les spécifie de manière que nos développeurs puissent les mettre en œuvre. Je soutiens également notre hotline de support, le marketing et notre académie. Je suis en quelque sorte le point de contact entre différentes fonctions.
Qu’est-ce que Documedis Vac?
Où Documedis est-il utilisé?
Il est majoritairement utilisé dans les pharmacies et les cabinets médicauxqui utilisent les logiciels de nos partenaires ou Compendium.ch avec le login HIN. En décembre 2021, environ 76 200 vaccinations ont été documentées et transmises. Avec l'extension, le nombre de documentations de vaccination devrait augmenter de manière significative.
Quels sont vos développements actuels concernant Documedis Vac? Pour quelles autres vaccinations sera-t-il utilisé à l’avenir?
La semaine dernière, le module a été complété par 12 nouvelles documentations de vaccination. La solution de vaccination de pharmaSuisse est ainsi remplacée. Nous sommes pour l'instant le seul fournisseur à proposer un tel éventail de documentations de vaccination et nous continuerons à les étendre et à les développer à l'avenir.
«Nous sommes pour l'instant le seul fournisseur à proposer un tel éventail de documentations de vaccination et nous continuerons à les étendre et à les développer à l'avenir.»
Nous nous attendons en outre à ce que la pandémie de coronavirus pose constamment de nouvelles exigences. Il est difficile de les prévoir. Nous participons à des réunions hebdomadaires avec l'OFSP, ce qui nous permet d'agir directement, par exemple au cas où il y aurait une quatrième vaccination en Suisse ou si un nouveau vaccin était autorisé.
Aline, merci pour cette interview!